Laissez-moi vous parler du parcours d’Andrew Tate, un type qui est passé des rings de kickboxing aux polémiques sur les réseaux, et franchement, son histoire est assez folle. Né en 1986 à Washington, avec un père maître d’échecs et une mère assistante traiteur, il a grandi entre les États-Unis et l’Angleterre après leur divorce. Dès 2005, il s’est mis au kickboxing, où il a cartonné en chopant plusieurs titres mondiaux ISKA dans les années 2010, avec un style tellement agressif qu’on l’appelait « King Cobra ». En 2016, il a tenté sa chance dans Big Brother au Royaume-Uni, mais il s’est fait éjecter en six jours à cause d’une vieille vidéo où il semblait frapper une femme – il a juré que c’était consenti, mais le scandale a marqué le début de sa réputation sulfureuse.
Après le kickboxing, Tate s’est réinventé en gourou en ligne, surfant sur une vibe de « mâle alpha » pour attirer des millions de jeunes mecs. Avec son frère Tristan, il a lancé des business comme des casinos en ligne et la « Hustlers University », un programme qui promettait de rendre riche en apprenant à « dominer ». Ses vidéos, où il exhibait des bagnoles de luxe et balançait des phrases choc sur les femmes et le pouvoir, ont explosé sur TikTok et YouTube, jusqu’à ce qu’il soit banni de plusieurs plateformes en 2022 pour propos misogynes. Puis, fin 2022, bam, son monde s’est écroulé avec son arrestation en Roumanie pour des soupçons de trafic d’êtres humains, de viol et de formation d’un groupe criminel. En 2025, même s’il est toujours dans le viseur de la justice, il continue d’influencer sur des plateformes moins régulées, prouvant que son aura de « mâle alpha » reste un aimant pour certains, malgré le chaos qu’il traîne.
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