Une commission d’enquête, lancée en mars 2025, s’est penchée sur le phénomène des « mâles alphas » sur les réseaux sociaux.
Cette enquête, qui a bouclé sa première phase après six mois, s’est attaquée à l’impact des influenceurs au discours hyper-masculin, souvent toxique, qui pullulent sur TikTok, Instagram ou YouTube. Vous voyez le genre : des mecs qui prônent la « domination » et balancent des idées douteuses, influençant la manière dont les jeunes, surtout les ados, perçoivent la masculinité et les relations.
La commission n’a pas fait les choses à moitié. Ils ont auditionné des experts, des psychologues, et même des créateurs de contenu comme Hugo Décrypte pour un point de vue équilibré. Mais le vrai drama est venu des figures controversées comme Alex Hitchens, AD Laurent et Nasdas. D’après les comptes rendus, Hitchens a défendu des positions masculinistes hardcore avant de claquer la porte d’une audition en visio. Nasdas, lui, a joué la carte sensible, expliquant qu’il quittait les réseaux pour préserver sa santé mentale. Quant à AD Laurent, il a apparemment sorti des références à Michel Sardou, un moment aussi lunaire que déroutant.
Une consultation citoyenne a récolté 32 000 réponses, montrant à quel point le public s’inquiète de l’influence de ces « mâles alphas ». L’enquête a mis en lumière le rôle des algorithmes, qui boostent les contenus clivants, et leurs effets possibles sur les ados, notamment sur des comportements violents ou des visions biaisées de la masculinité. Le rapport final, prévu pour septembre, proposera des pistes pour mieux encadrer les contenus en ligne et protéger les jeunes. Affaire à suivre !
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